Comment comprendre les difficultés d’intégration des personnes souffrant de handicap ? Quelle est donc cette peur qui détourne les « valides » des personnes dites «handicapées» ? Il est habituel de dire que ce rejet est la conséquence d’une peur de la différence...
Mais peut-être est-il intéressant de renverser la proposition : et si cette peur était avant tout une peur de la ressemblance ? Avancer une telle hypothèse, c’est considérer que le handicap est un miroir qui renvoie aux personnes «valides» un reflet à la fois fascinant et inquiétant...
Rejet
A partir de là, plusieurs réactions sont possibles. La première est la plus simple : le «valide» rejette la personne handicapée pour ne pas voir qu’il lui ressemble. Et ce rejet peut prendre la forme de véritables agressions, ces violences exercées à l’égard des personnes handicapées se déclinant différemment selon les cultures (cf. les représentations anthropologiques).....
A méditer !!!! pour ma part je passe à chaque fois un innoubliable moment de joie, de tendresse, et de complicité sans aucunes différences.
Toulouse (31) - A la une. Triplette masculine. Championnat de France à Brive
De Saint-Lys comme Willliam Garcia ou de Magnanac comme Sebastien Lacroix, Thierry Zulian et Kenny Champigneul, tous les Haut-Garonnais devront évoluer en rangs serrés./Photo DDM, Didier Pouydebat
Six triplettes vont représenter le CD 31, samedi et dimanche prochains à Brive, lors du championnat en triplette masculine. Un périple aux allures d'opération-commando.
«Brive, le riant portail du Midi.» Tous les amateurs de dépliants touristiques et de clichés façon «carte postale» connaissent l'autre appellation de Brive-La-Gaillarde. Mais pour le contingent appelé à se rendre dans l'ancien fief de Patrick Boutot dit «Sébastien», il ne sera question, ni de tourisme vert en Limousin ni de divertissement du style troisième mi-temps. On pense notamment aux Saint-Lysiens, opposés d'entrée de jeu aux Drouais emmenés par Frédéric Perrin, l'ancien champion de France de l'édition marseillaise de juin 2005. Fort heureusement pour «Manu» Alias et ses colistiers, le méticuleux pointeur en question en question ne fait plus équipe avec Fazzino et Rypen mais toutes les grosses pointures – pour ne pas dire plus – seront présentes sur la ligne de départ. Les champions en titre bien-sûr (Lucien, Quintais, Suchaud), les monuments incontournables (Foyot), les revanchards (Dylan Rocher, puni 13-4 à Saint-Avold en quart de finale devant la grande foule comme un gamin pris en faute par Maître Fazzino en personne et Denis Olmos), les ambitieux (Cortès), les revenants (Sevilla, Robert), les éternels espoirs (Jean-Michel Puccinelli)… Et que dire de cette coalition lyonnaise aux allures de «dream team néogalactique», à savoir Loy, Le Boursicaud et Lacroix ?
Voilà pour le fameux binôme «strass et paillettes». Il ne reste donc plus qu'à prier pour les sociétaires de Colomiers (Ferrand, Rouquié, Berlier), de Papus (Amarilli, Klein père et fils), de Magnanac (Zulian, Champigneul, Lacroix), de Lavernose-Lacasse (Soler, Hernandez, Zaton), et du Raphaël (les frères Schmitt et «Jo» Mucci) dont on attend qu'ils négocient, dans un premier temps, la phase préliminaire en poule de quatre trop souvent synonyme, hélas, de «Cap Horn». Il sera toujours temps d'évoquer ensuite le «record» toujours détenu par Michel Navarro, Frédéric Abruzzo et Cédric Millet, ou, plus exactement la performance accomplie par ceux qui sont les derniers à être revenus le dimanche matin disputer le fameux, le fatidique huitième de finale. Cela se passait à Dijon, en 2007. Presque de l'histoire ancienne. Prière, donc, de briller, même s'il n'est guère difficile de se procurer des «chandelles» en terres brivistes…
Flanqué de Michel Le Bot, Christian Lapeyre fait le tour de la question avec sa clairvoyance habituelle./ Photo DDM, Didier Pouydebat.
Non qualifié cette année mais partie prenante quelque part car ses amis, de Foyot à Fazzino en passant par les Haut-Garonnais dont il est le porte-parole, sont nombreux sur la grille de départ, en Corrèze. Christian Lapeyre nous dit tout. Tout ce qu'il faut savoir sur «l'avant-match» tant le grand rendez-vous briviste en triplette suscite un énorme engouement.
Ce «France» en triplette masculine, qu'a-t-il de plus ?
Il est celui que tout le monde désire un peu plus encore que les autres, celui dont la conquête auréole une carrière, celui dont on n'est jamais rassasié… Il est magique tout simplement, et pratiquement ingagnable deux fois de suite, à de rares exceptions près. Personnellement, je ne l'échangerais pas, même contre dix nationaux tant il est précieux !
On dit que le favori fait face à une pression insoutenable ?
Et c'est vrai ! Une victoire aux dépens d'une tête couronnée a un impact incomparable. N'oubliez pas non plus l'obligation absolue de représentativité des compétiteurs, vis-à-vis des dirigeants, des clubs, du public, etc.
À supposer que la force de frappe de vos adversaires soit supérieure, quelles solutions tactiques peut-on préconiser ?
Déjà, il faut être prêt. On ne peut pas parler de réveil musculaire comme chez d'autres sportifs mais l'échauffement ne doit pas être négligé au même titre que la récupération entre les parties. Ensuite, il y a toutes les variantes du point qui font office de fondamentaux. Début de mène, point de reprise ou de rajout, tous comptent. Bien souvent, une défaite concédée au-delà de 10 unités est liée à des possibilités de rajout mal négociées à un moment ou à un autre. Avec ce que cela suppose de regrets. Pas besoin de tableau noir à la pétanque !
En triplette masculine, quel est le bon barème ?
Trois points constituent déjà une fructueuse moisson. Il est clair que l'endurance entre en ligne de compte dès lors que les parties s'éternisent.
Comment positionnez-vous notre contingent ?
Il se présente globalement dans le rôle de l'outsider, même si les Columérins sont capables de tous les exploits. Mine de rien, toutes les équipes n'alignent pas deux anciens champions de France dans leurs rangs ! Je pense entre outre que «Bambi» Schmitt et Thierry Zulian peuvent rivaliser avec les meilleures gâchettes. À nous de croire en nos chances, de faire abstraction du manque de constance ou d'expérience.
Dylan Rocher, 3e mondial, est le parrain du Masters des jeunes./ Photo DDM JC Boyer
Au cours de cette journée des Masters de pétanque, technique et soleil étaient aussi de la partie. Un beau moment de sport partagé entre convivialité et compétition.
Dès 10 heures hier matin, les terrasses du Puy et l'espace Vayssettes ont été le théâtre des masters de pétanque. Soixante-deux élèves de l'école Chapou et du collège Jeanne-d'Arc ont participé à divers ateliers ludiques afin de découvrir ce sport. La manifestation s'est déroulée dans des conditions optimales, la gaieté en prime. Tous les boulistes en herbe sont repartis récompensés.
À 14 heures se sont ouvertes les hostilités avec le tournoi junior, regroupant, comme l'an passé, 26 triplettes, dont 4 non licenciées. Sous un soleil de plomb, les tribunes clairsemées ont pu savourer des parties, pour la plupart, d'un bon niveau. «C'est agréable de voir des jeunes avec déjà beaucoup de maturité, de calme et de technique, commente Bernard Prat, ancien joueur de bon niveau. Avec la présence du public, cela prouve que ce sport n'est pas confidentiel et vieillissant. La relève non seulement est assurée, mais aussi prometteuse.»
On pouvait également noter la présence de parents, qui avouaient se sentir plus tendus que leurs progénitures, venues pour passer un bon moment entre copains à l'instar de l'équipe figeacoise. Composée de Tom Richard, Jules De la Rosa et Martin Cabridens, cette triplette non licenciée a en effet dépassé le stade des quarts de finale sans pression. Au contraire, la redoutable équipe du Tarn, grande favorite et emmenée par Axel Dahmani, veut aller au bout. «Nous sommes venus pour gagner», confie Axel, 14 ans, champion de ligue et du Tarn. Lui et ses coéquipiers, Thibault Escolano et Enzo Nougarolis, envisagent déjà de devenir bouliste de haut niveau et sont retenus en détection en zone Midi-Pyrénées, en vue d'intégrer l'équipe de France cadet. Attention cependant à d'autres équipes qui font figures de challengers, comme celles de l'Ariège ou de Bordeaux.
Résultats : étant donné l'heure avancée du déroulement des phases finales, nous publierons les résultats dans notre édition de demain.
Dylan Rocher : «Je suis un sportif de haut niveau»
À tout juste 22 ans, le gaucher Dylan Rocher, 3e au niveau mondial, revient avec plaisir à Figeac.
Comment êtes-vous devenu joueur professionnel ?
Mon père était aussi champion du monde, j'ai en fait suivi ses traces. Après, la Marseillaise 2010 et les championnats du monde 2012 ont été des moments clé médiatiquement qui m'ont permis de poursuivre dans ce sport. D'ailleurs, je ne suis pas professionnel mais sportif de haut niveau car nous sommes obligés, dans le milieu de la pétanque d'avoir un métier à côté. Pour ma part, je travaille à la mairie de Draguignan.
Que représente l'épreuve de Figeac pour votre équipe ?
C'est la première des six étapes. Il s'agit surtout de prendre ses repères et de marquer le terrain.
Pourquoi avez-vous accepté d'être parrain du Masters des jeunes ?
C'est un réel plaisir que de soutenir des jeunes dans notre sport, d'autant plus des jeunes qui ne se tournent pas vers le football.
Le challenge Jean-Luc-Berchielli pour les vainqueurs saint-gironnais.
Le seizième concours Elysées Cars, en doublettes, sur les terrains du bar la Rap, a réuni 49 équipes ayant pour objectif de remporter le prestigieux challenge Jean-Luc-Berchielli.
Après le traditionnel repas avec les Saint-Gironnais, l'arbitre Jean-Paul Giraud et le graphiqueur Benoît Arcens lancèrent le concours. À l'issue d'âpres parties, les doublettes Magnin-Hérisson (BBP) et Ricard-Ferret (NH) perdent en demi-finales.
En finale, l'équipe saint-gironnaise Michel Reynes et Pierre-Marcelin Naudy l'emporte face à une valeureuse équipe NH, Valentin Moreno et Patrick Castel. Lors de la dernière journée de la phase de poules de la coupe des clubs, les trois équipes saint-jeantaises engagées sont revenues avec trois victoires. L'équipe féminine, avec sa capitaine Audrey, a gagné contre Varilhes (16-8) et se qualifie pour la troisième année consécutive pour les phases finales. L'équipe de division 1, emmenée par son capitaine Guy, l'a emporté (26-10) à Castelnau-Durban et termine première de poule et surtout invaincue.
En deuxième division, l'équipe de Benoît a remporté sa troisième victoire consécutive, non sans mal, contre une valeureuse équipe de Saint-Jean-du-Falga. L'essentiel est acquis pour cette équipe qui visait le maintien dans cette catégorie, en terminant troisième sur six de sa poule.
Aujourd'hui a lieu, sur les terrains du bar la Rap, la cinquième journée de la coupe des clubs vétérans.
L'équipe du capitaine Alain essaiera de continuer sur sa lancée avec une cinquième victoire en autant de journées.
L'équipe Roualdès est parvenue jusqu'en demi-finales./Photo DDM.
Le championnat départemental de sport boules en quadrettes a vu la victoire des Millavois. La formation Privat, Fauvet, Poujol, Fonzes, Nespoulous (Millau BCM) a été championne en troisième division, tandis que l'équipe Cammas, Carrion, Antoine, F. et D. Vernhes (PM Millau) a remporté le titre en quatrième division. Les Viviézois, jouant à domicile, avaient engagé deux formations. Le team Roualdès, Gauducheau, Gardes, Pinquié, Didier, concourant en quatrième division, a atteint les demi-finales, chutant contre les futurs vainqueurs. L'autre formation, Nathalie Bujna, René Cavalier, Antoine et Thierry Rambaut, évoluant en troisième division, est parvenue en quarts de finale. Nos représentants avaient les moyens de faire mieux, peut-être ont-ils subi les effets du soleil, véritable élément à prendre en compte tant il faisait chaud. Francis Destruel, adjoint aux sports, a remis aux vainqueurs deux trophées offerts par la municipalité.
Decazeville (12) - Championnat de france en triplettes
Franck Bonneviale. /Photo DDM
Ce week-end, à Brive, se déroule la finale du championnat de France en triplettes (seniors et promotion). Rencontre avec le champion de l'Aveyron, Franck Bonneviale.
Franck Bonneviale sera associé à Nicolas Bories et Richard Fauvet. La triplette sacrée champion de l'Aveyron en avril suivra-t-elle la voie entrouverte par Fabrice Poplin et Stéphane Guerrero en doublettes le week-end prochain ?
Comment avez-vous préparé l'épreuve reine de la pétanque ?
Nous n'avons pas trop joué ensemble, excepté le championnat de Ligue. Cela dit, nous avons fait quelques concours chacun de notre côté. Mais nous n'avons pas fait un entraînement spécifique.
Quel est votre état d'esprit ?
Avec Nicolas et Richard, nous nous connaissons bien et l'entente est excellente. Au niveau du jeu, nous sommes irréguliers, capables du meilleur, comme au championnat de l'Aveyron, et du pire, à l'instar de la Ligue où nous démarrions de fort belle manière les parties, puis sans trop savoir pourquoi, nous connaissons des passages à vide. Donc, nous partons un peu dans l'inconnu.
D'accord, mais vu votre expérience commune, quelles sont vos ambitions ?
Être champions de France ! Non, plus sérieusement, et devant nos prestations en dents de scie, nous souhaitons d'abord sortir de poule, malgré la présence d'un certain Fazzino. Après, si nous franchissons l'écueil des poules, nous prendrons les parties comme elles viendront. Si nous gagnons, cela ne sera que du bonus. Nous espérons jouer sur un terrain sélectif où nous serons plus à notre avantage. Enfin, nous félicitons le duo Poplin-Guerrero pour leur beau parcours au France.
Fabrice Poplin et Stéphane Guerrero./Photo DDM, archives.
On le sait (voir «La Dépêche» du 23 juin), les champions de l'Aveyron Fabrice Poplin et Stéphane Guerrero ont signé une authentique performance en atteignant, ce week-end, à Saint-Avold (Moselle), les huitièmes de finale du championnat de France en doublettes seniors. A fortiori quand on sait que pour en arriver là les deux complices du But du Monastère ont notamment disposé (13 à 12) en poule de l'ancien champion du monde Thierry Grandet (Auvergne) et en seizièmes de finale des champions de la ligue du Languedoc-Roussillon Yazid Triaki et Vincent Renard (13 à 6). Hélas! le sort leur réserva pour les huitièmes de finale rien moins que les champions du monde Henri Lacroix et Bruno Le Boursicaud. Trop dur ! Malgré une farouche résistance (en inscrivant huit points, les deux Monastériens furent ceux qui en marquèrent le plus entre les huitièmes et la finale face aux nouveaux champions de France), Fabrice Poplin et Stéphane Guerrero ne purent que retarder l'échéance.
Ils ont donc quitté Saint-Avold habités de quelques regrets, mais surtout remplis de la double satisfaction du devoir accompli (leur but était de jouer le dimanche matin) et d'avoir à nouveau, comme tous les quatre ans, érigé haut les couleurs aveyronnaises à l'échelon national.
Triplettes, doublettes et tête-à-tête seniors confondus, avant eux, en effet, seuls, au cours de ces quinze dernières années, les Creisselois Jean-Pierre Mas et Laurent Morillon (déjà en doublettes donc !) avaient réussi à s'immiscer dans le carré d'honneur du dimanche matin. En se hissant jusqu'en huitièmes de finale, en 2010, à Aurillac et surtout jusqu'en quarts de finale, en 2006, à Belfort.
Questions : faudra-t-il encore attendre quatre ans et donc 2018 pour voir à nouveau les couleurs briller lors d'un championnat de France seniors ? Et si oui, qui ?
L'AOV boules organise, ce week-end, le championnat de l'Aveyron quadrettes à l'espace Jacques-Rey. Il s'agit de la compétition la plus huppée, la plus attractive pour les boulistes. D'ailleurs, les meilleurs joueurs du département seront présents pour en découdre. Coup d'envoi, le samedi 21 juin, à 14 heures. Reprise le dimanche matin.
Les Viviézois ont engagé deux formations, une en quatrième division (équipe Roualdès), l'autre en troisième division (équipe Rambaut). Peut-on espérer un exploit du côté des «zingueurs» ? Cela est possible. Rappelons juste qu'Antoine Rambaut, René Cavalier et Christian Gardes ont été récemment sacrés champions de l'Aveyron en vétérans, avec les Decazevillois André Romec et Michel Calac. Venez nombreux encourager nos boulistes, tandis que le président Joël Cavalier et son équipe de bénévoles sauront bien vous accueillir.
Dans moins d'une semaine, Figeac sera la capitale de la pétanque. La ville accueillera jeudi pour la 2e année consécutive les Masters de la discipline et les plus grands joueurs du moment.
Pour la deuxième année consécutive, les Masters de Pétanque seront organisés à l'espace Vayssettes, jeudi 26 juin à partir de 9 heures, où quelques-uns des meilleurs joueurs du monde tenteront de reprendre à l'équipe Suchaud, Quintais, Fazzino, Hureau (vainqueurs également de l'étape figeacoise 2014), le trophée brillamment conquis l'an dernier.
«La pétanque est très développée dans le Lot, et récolte souvent de bons résultats, dit Roland Gareyte, responsable des sports du Grand Figeac. Nous avons pensé qu'il était bien d'offrir à ses amateurs une 2e édition de cette belle épreuve».
L'office intercommunal des sports coordonne la manifestation, qu'organise le comité départemental de Pétanque et jeu provençal du Lot, en compagnie des bénévoles du secteur Est. Tout est calé avec la société Quaterback, qui porte l'événement.
Un événement qui pèse 37 000 €, plus des frais inhérents comme la location et le montage des tribunes, la préparation de la piste, etc.
Aux côtés des vainqueurs de 2014, seront présents cette année les équipes nationales de Madagascar et d'Italie, trois formations prestigieuses emmenées par Christophe Sarrio, Emmanuel Lucien et le champion du monde 2012 Dylan Rocher, une Wild card, où trois jeunes de vingt ans épauleront leur leader Zvonko Radnic, et l'équipe locale, composée de Christian Enocq, Jean-Claude Mas et Régis Fouilhac. Équipe lotoise devrions nous dire puisque le premier est licencié à Béduer, le second à Cahors et le troisième à Biars.
Un concours pour les jeunes
La veille, mercredi 25 juin à partir de 10 heures, des ateliers de pétanque seront organisés aux Terrasses du Puy, où participeront des écoliers de Figeac, ainsi que tous les jeunes qui se feront inscrire. Il y aura des concours de tir et de point. L'après-midi, dès 14 heures, place aux Masters des jeunes, sous l'œil bienveillant des champions qui assisteront à l'épreuve au fil de leurs arrivées.
«C'est un honneur pour le comité départemental d'accueillir cette 16e édition des Masters à Figeac, dit en souriant la présidente, Marielle Bex. C'est une compétition de portée mondiale, et la ville profitera bien sûr de cet éclairage spécial, diffusé par Canal + Nous espérons faire aussi bien qu'en 2013, avec 1 200 spectateurs».
Les organisateurs présentent l'affiche de la manifestation.
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/image%2F0976972%2F20140325%2Fob_291efa_petanque.jpg "Les News de la Pétanque par Danielle Lalaurette - Tél 06 75 03 09 66 // d.lalaurette@hotmail.fr")
