Publié le 27 Juillet 2012

Rédigé par Danielle Lalaurette

Publié dans #Infos Générales 2014

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Publié le 27 Juillet 2012

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Publié le 27 Juillet 2012

 

Photo DDM,/ Guillaume Courveille. ()

Photo DDM,/ Guillaume Courveille.

Ils seront tous les deux associés vendredi soir sur les terrains du Parc du Candou pour lancer la 20e édition du national de pétanque du Carmausin.

Aux côtés de Passo, Gasparini et autres champions, Kévin Ghrifa, jeune joueur très prometteur et Ludovic Massoutier au palmarès déjà bien rempli participeront au plateau exhibition.

Le samedi, les deux hommes se retrouveront pour la triplette en compagnie de Frédéric Massoutier, frère.

Dimanche, c'est avec leurs coéquipiers respectifs que les deux amis concourront. Les Tarnais, qui habitent Réalmont ont déjà fait leurs preuves sur les circuits nationaux et en championnat de France. C'est en sérieux candidats qu'ils se présentent à Carmaux, «un des plus beaux nationaux» selon eux.

Partie improvisée à Réalmont


L'organisation ne cachait d'ailleurs pas son plaisir d'accueillir cette jeune génération locale aux multiples talents. Cette semaine, La Dépêche du Midi est allé à la rencontre de ces maîtres de la pétanque à Réalmont. Souriants, modestes en tenues décontractées, les deux coéquipiers ont évoqué leur parcours à la terrasse d'un café, sirop grenadine dans le verre pour l'un et soda pour l'autre.

Ludovic Massoutier et Kévin Ghrifa nous ont expliqué qu'ils étaient tombés dans la marmite de la pétanque depuis tout petit.

Pas d'écoles de jeunes pour ces joueurs, le talent ils l'ont développé à la sortie des cours et au fil des compétitions officielles. Travaillant tous les deux, Ludovic et Kévin ne se prennent pas la tête, profitent de ce sport qu'ils qualifient de «convivial et festif».

Et sur le terrain, cela se voit. Au détour d'une partie improvisée sur la place du village, on comprend vite qu'il vaut mieux être dans leur équipe que leurs adversaires. Des tirs précis, un pointage irréprochable, il sera dur de battre cette doublette qui fait parti des grands favoris de ce rendez-vous du Carmausin.

Inscriptions au national : 06-70-15-84-06 / 06-11-27-49-99.


«Le plus beau des nationaux»


Ludovic Massoutier, 29 ans, champion de ligue en titre, Boule d'Or Gaillac, tireur. Lavaur

Son Palmarès.

Champion de ligue 2011 (doublette), plusieurs fois champion du Tarn, trois fois champion de France (deux fois avec le club de la Boule d'Or de Gaillac, une fois en corporation), demi-finaliste du mondial de Millau en 2006, demi-finaliste des championnats de France en 2005 (doublettes). Plusieurs nationaux dont Carmaux en tête à tête et dernièrement Labarthe-Rivière avec ses deux compères gersois Delon et Bénoni.

Ce qu'il pense de Kévin.

«Kévin je l'ai vu jouer lorsqu'il était tout petit. À l'époque, je me disais que ce jeune avait un avenir prometteur. Je ne me suis pas trompé et c'est un plaisir de pouvoir jouer avec lui aujourd'hui».

Son opinion sur le national du Carmausin.

«Pour moi, Carmaux est le plus beau des nationaux de l'Hexagone. Je l'appelle «Le petit Millau». C'est bien qu'il soit de retour sur le circuit. Ca manquait. C'est pourquoi je tenais à être particulièrement présent cette année».

Son plus beau souvenir au parc du Candou.

«En 2003, lorsque j'ai remporté la finale du concours tête à tête contre Robert Demetter de Toulouse sur le score de 13 à 11.»


«Je viens tous les ans à Carmaux»


Kévin Ghrifa, 19 ans, champion de france juniors 2010, Boule d'Or Gaillac, tireur-milieu. Réalmont

Son Palmarès.

Champion de France juniors (2010), vice champion de France cadet (2007), plusieurs titres de champion du Tarn juniors, deux fois vice champion de ligue Midi-Pyrénées juniors et cadets, qualifié pour les championnats de France, finaliste au national de Mende (2011), 1/8e de finale de la Marseillaise (2012).

Ce qu'il pense de Ludovic.

«Ludo c'est un très bon tireur. Il est très très fort de loin notamment. Il ne craint personne. Bon, au point ce n'est pas l'assurance tout risque (sourire)».

Son opinion sur le national du Carmausin.

«C'est une très belle compétition, le cadre est magnifique. Je viens tous les ans disputer le national à Carmaux».

Son plus beau souvenir au parc du Candou.

«Je me souviens d'une partie mémorable dans les allées du Parc du Candou. À l'époque j'avais 13 ans. Je jouais contre Simon Cortes, Debard et Poncé. On avait gagné 13 à 8 au terme d'une très grosse partie. Je n'avais quasiment pas manqué une boule».

 

 

 

 

 

Guillaume Courveille

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Publié le 27 Juillet 2012

André Trigueros et Michel Bellières accompagnés de leurs dames. /Photo DDM - Tous droits réservés. Copie interdite.
André Trigueros et Michel Bellières accompagnés de leurs dames. /Photo DDM ()

André Trigueros et Michel Bellières accompagnés de leurs dames. /Photo DDM

S'il est des hommes qui se comprennent et qui font avancer la pétanque, c'est bien ceux-là. Chacun son truc, André le spécialiste de l'historique, le métronome, le calculateur, le gestionnaire en ex-homme de loi. Michel, c'est la tête pensante, celui d'où viennent les idées, le négociateur, il connaît tout le monde, la vie publique, il la maîtrise. Bref, un duo qui ne peut que marcher, c'est simple, regardez-les dans les concours qu'ils organisent, ils ne se perdent jamais de vue. La solidarité des coprésidents, en fait.

André Trigueros

âgé de 68 ans, il est retraité de la gendarmerie depuis juillet 2000, après quelques années dans les travaux publics, il avait opté pour une carrière dans la gendarmerie. Les raisons familiales l'ont alors destiné à devenir Réquistanais en 2000 quand l'heure de la retraite a sonné.

Certes, André n'est pas un enfant du pays mais il a su, dès son arrivée au village, s'intégrer dans la vie locale et la vie associative, guidé par ses beaux-parents venus s'installer en Aveyron il y a plusieurs années.

Originaire de Carcassonne, André a un long parcours de joueur de pétanque puisque déjà jeune (13 ans), il avait sa licence à l'ASPTT Carcassonne. Mais cela n'était pas sa seule activité, plus musclée cette fois, il était aussi joueur de jeu à XIII, talonneur en juniors nationaux, s'il vous plaît, il a même été champion d'Allemagne interarmées, une référence.

Par nature, dès 2001, il s'inscrit dans le club réquistanais comme simple licencié, mais son implication le propulse rapidement comme secrétaire et, trois ans plus tard, comme coprésident avec Michel Bellières.

«138 licenciés dont 31 jeunes, dit-il fièrement. 3 brevets fédéraux, 3 initiateurs. On organise 5 concours par an avec un en vétérans.» André Trigueros profite de chaque occasion pour mettre le club en avant, à juste raison. «Nous avons deux équipes seniors et deux féminines, une vétérans, une seniors en Coupe de France des clubs». Même quand on veut parler de lui, il dévie la conversation sur le club, un vrai passionné avec beaucoup d'humilité, c'est André.

Michel Bellières

Marié, un enfant et deux petits-enfants, Michel est un homme incontournable de la vie réquistanaise. Retraité des PTT depuis 2003, Michel ne s'est jamais expatrié, même pour sa carrière professionnelle. Grande figure de la pétanque aveyronnaise, Michel est un organisateur né.

C'est tout petit qu'il est tombé dans la marmite des boules et ne l'a jamais quittée, même quand vers ses 18 ans il était aussi joueur de football au village en tant d'ailier (l'homme était rapide). Le club était en promotion d'honneur. Les calendriers des deux sports lui ont permis de conjuguer.

Quand on lui demande ses faits d'armes en pétanque, il se dit assez fier d'avoir fait une demi-finale à Millau dans le concours tête-à-tête en 1964, face à un certain Palomar (Rodez), champion de ligue.

C'est peut-être pour cela que sa discipline préférée est justement le tête-à-tête, sans renier doublettes et triplettes qui forcent à l'esprit d'équipe. «Au moins avec le tête-à-tête, je m'engu… avec personne», plaisante-t-il.

Mais l'homme a plus d'un tour dans son sac, alors élu municipal, la mairie, en 1993, a fait le nécessaire pour acquérir près de l'église un bâtiment vétuste qui deviendra plus tard le boulodrome couvert grâce au bénévolat exemplaire de tous ; quel bonheur pour tous les fervents ! Michel, devenu président, a de suite eu en tête de créer un événement majeur en Aveyron.

Une idée qui a fait son chemin petit à petit, d'abord en créant une école de pétanque, une initiative fructueuse avec au tableau d'honneur un quart de finale de championnat de France qui reste dans sa mémoire, en 1992, avec la triplette minimes W. Tessier, A. Bérail et F. Firmin. «Une épopée avec la 806 de M. Delmas».

Tout cela mis en place, il fallait passer du rêve à la réalité, le National de pétanque pour les jeunes, et voilà le 16e du nom passé, organisé de main de maître, «comme d'hab'». Aujourd'hui, les jeunes se pressent de partout pour faire «le Réquista» : Jura, Monaco, Gironde, Vaucluse, Haute-Loire… et même du Canada. Noyé dans toutes les activités de Michel, pour la pétanque, j'ai failli oublier de dire qu'il a aussi été au comité départemental durant quatre années, sacré bonhomme, il ne reste plus qu'à demander à son épouse si elle lui connaît un point faible.

 

 

 

 

 

 

 

J.-M. N.

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Rédigé par Danielle Lalaurette

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Publié le 27 Juillet 2012

Bravo et merci à Muret Saint-Jean./Photo DDM ()

Bravo et merci à Muret Saint-Jean./Photo DDM

L'équipe de Muret/Saint-Jean a reçu ce week-end l'équipe de Saint-Alban avant la rencontre du Cadrage en Coupe de France de Pétanque 2012-2013, le 20 juillet.

Ils ont été très bien reçus par le club et son président Claude Lagarrigue. Félicitations aux deux équipes qui nous ont montré de très belles parties disputées dans le respect et la sportivité.

La victoire est revenue au club de Saint-Alban qui va rencontrer lors du 3e Tour de Coupe de France de Pétanque 2012-2013 le club voisin de Bruguières à domicile dans le courant du mois prochain.

 

 

 

 

 

 

 

La Dépêche du Midi

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Publié le 27 Juillet 2012

 

Les vice-champions du Monde malgaches ont fait le déplacement. Ils sont ici avec Eric Lievremont, Francis Poirier et le président Duprat. /DDM, ZG ()

Les vice-champions du Monde malgaches ont fait le déplacement. Ils sont ici avec Eric Lievremont, Francis Poirier et le président Duprat. /DDM, ZG

L'International de pétanque démarre ce soir vendredi à 19 heures par le tête à tête. En 2 011 ce seul concours avait réuni 503 joueurs : 426 hommes et 77 féminines. Les finales avaient opposé Patrick Coppa de Pau Pasteur à Lionel Variba de Monaco chez les seniors et Maryse Bergeron du Canada à Laetitia Bousquet de Flourens (31).

Derniers préparatifs

Actuellement, la famille Duprat et les bénévoles de la Pétanque Salisienne s'activent pour terminer les derniers préparatifs. Mardi soir une réunion de présentation avait eu lieu à la salle socio-culturelle en présence de Michel Lebot, Guy Vone et Alain Soulignac du Comité Départemental 31.

À cette occasion, Jean-Pierre Duprat a rendu un vibrant hommage au responsable de la tenue des graphiques Alain Soulignac. «Depuis le lancement de l'International, il a cru en nous et nous a soutenus», a-t-il dit.

Etaient également présents les présidents de foot de l'US Salies Mane, Jeannot Sutra et René Michel Ertlen, venus prêter main-forte à l'organisation de cette manifestation.

Les présidents des clubs voisins et amis avaient fait le déplacement ainsi que les vice-champions du Monde malgaches et les amis réunionnais fidèles à ce rendez-vous.

 

 

 

 

Z.G.

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Rédigé par Danielle Lalaurette

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Publié le 27 Juillet 2012

pétanque jusqu'au 29 juillet

 

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Jenny Rathberger participera au national./Photo DDM, D.P

 

Carmaux renoue ce vendredi avec son national de pétanque, après une année d'abstinence forcée qui a privé les Carmausins, les Tarnais et tous les autres d'une manifestation à la fois sportive et festive, devenue au fil des ans un rendez-vous incontournable pour des milliers de supporters.

Pour remettre cette belle et grande épreuve sur les rails, une équipe de bénévoles, amoureux fous de la boule en acier et rompus à l'organisation des fêtes en tout genre, s'est retrouvé dès septembre 2011 autour du président Christian Albar, pour préparer le national qui fêtera ce week-end son 20e anniversaire.

Un boulot quasiment à temps plein pendant 10 mois pour les 80 bénévoles, pour organiser, trouver partenaires et sponsors, tout faire pour que le jour J la grosse machine soit parfaitement huilée : entre accueil des compétiteurs et du public, mise en place des quelque 200 terrains tracés au parc du Candou et au stade Vareilles, la restauration et les buvettes, sans oublier de brûler un cierge au dieu de la pétanque pour avoir une météo clémente. À quelques heures du premier lancer de cochonnet, nous avons fait le point avec le président Albar.

Combien avez-vous de participants inscrits ?

Chez les masculins, 130 triplettes, les féminines s'inscrivent sur place. Au total, nous devrions avoir 800 à 1000 participants.

Y-aura-t-il des grands noms de la pétanque ?

Chez les dames, le plateau sera très relevé avec entre autre Rathberger (championne de France, 2 fois vainqueur du mondial de Millau), Maillard (championne d'Europe et de France), Tronche (Mondial Millau), et aussi Schopp, Berdoyes, Aubriot, Sarda, Roche, Farges, Bossian, toutes bardées de titres nationaux et internationaux.

Chez les hommes, ce n'est pas mal non plus avec les frères Massoutier, Ludovic, Beckrar, Ghrifa, Pizolato, Vayssette, Champigneul, Archimbeau.

Quels seront les temps forts ?

Vendredi le tournoi exhibition, samedi le national triplette masculin et doublette féminin, dimanche le doublette grand prix et triplette féminin.

Y aura-t-il des nouveautés pour ce 20e anniversaire ?

Oui, vendredi soir, avec l'exhibition de 16 équipes dont 3 équipes filles de haut niveau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J..L.G.

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Publié le 25 Juillet 2012

rendez-vous. Anaïs Lapoutge en tête de gondole.

 

Anaïs Lapoutge (à gauche) a vraiment le profil d'une prétendante à la couronne princière./Photo DDM, Léa Donnat ()

Anaïs Lapoutge (à gauche) a vraiment le profil d'une prétendante à la couronne princière./Photo DDM, Léa Donnat

Comme chaque année, le plateau féminin est à la hauteur de son homologue masculin déjà évoqué dans ces mêmes colonnes il y a quinze jours. D'Anne-Marie Della-Pietra (l'internationale monégasque titrée en mixte aux côtés de Philippe Quintais lorsqu'elle portait les couleurs voisines du DUC de Nice) à Maryse Bergeron (la Canadienne, associée à Fabienne Stoker et Mélanie Vazé), ce ne sont pas les prétendantes qui vont manquer à l'appel.

Mais il est clair que les Pyrénéens n'auront d'yeux que pour Anaïs Lapoutge. Et pour cause. La toute jeune Bigourdane, sociétaire de Saint-Martory, titrée en doublette à Beaucaire après l'avoir été neuf mois auparavant à Fos/Mer, aura l'insigne privilège de porter le maillot tricolore.

C'est pour cela que l'on ne retrouvera à côté d'elle ni Nelly Peyré ni Pascale Pontac mais Morgane Bacon et Perle Clément.

Haute comme trois pommes mais, néanmoins, pétrie de talent et fort sympathique, la dernière nommée n'est pas une inconnue du public salisien depuis son fabuleux parcours en tête-à-tête de l'édition précédente sous la bannière lotoise.

Soit une jeune «dream team» qui sera attendue au tournant par toutes nos pointures départementales - trop nombreuses pour être citées de façon exhaustive - et celles venues de plus loin.

Bref, un concours féminin à suivre avec la plus grande attention car, bien souvent, la formule en poule ne procure qu'un éphémère joker aux perdantes du premier acte.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ph. A

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Publié le 25 Juillet 2012

 

 

international.Un autre week-end de rêve en Comminges


Un ensemble de sites (comme celui dit «de la gare») qui contribue à l'excellente renommée du concours./ Photo DDM, JAL. ()

Un ensemble de sites (comme celui dit «de la gare») qui contribue à l'excellente renommée du concours./ Photo DDM, JAL.

Depuis 2005, la chaîne des Pyrénées est affectée par un véritable soulèvement dont l'épicentre se situe à Salies-du-Salat, le dernier week-end de juillet.

Alain Phalippot. S'il fallait ne citer qu'un nom et un seul, ce serait bien celui du mythique champion appelé, indépendamment de ses profondes racines tarnaises, à se rendre bien volontiers non pas sur les bords du Cérou mais sur ceux du Salat, ce samedi.

Autant désamorcer d'emblée en effet la bombe concurrentielle. Si la renaissance du National de Carmaux a vivement contrarié un staff commingeois désireux d'avoir les coudées franches en se positionnant pour de bon à la date qui est la sienne, il y a bien assez de place pour deux ogres dans l'antre midi-pyrénéen. Du moins en ce qui concerne le vivier de licenciés.


Un pedigree qui en impose


Pour le reste, la carte de visite brandie avec fierté par Jean-Pierre Duprat est suffisamment éloquente.

80 000 euros de budget, 250 terrains tracés dont la sélectivité en a surpris plus d'un et plus d'une, deux graphiques, deux buvettes, des invités de partout, des bénévoles animés par cette foi que l'on associe généralement aux premiers communiants.

Et si leur quartier général est établi dans la cour de l'école, c'est bien évidemment vers le carré d'honneur que se tourneront, au fil des heures, les regards des très nombreux spectateurs qui connaissent désormais la place principale dans ses moindres recoins.

Rappelons-le à l'attention des étourdis, le rendez-vous devenu incontournable en l'espace de sept éditions couronnées d'un franc succès compte en vue des qualifications des prestigieux «Masters» de l'année suivante.

Français (de métropole et d'outre-Mer), Malgaches, Espagnols… tous voudront marquer des points, au propre comme au figuré. En espérant de tout cœur que la participation locale soit proportionnelle aux efforts fournis en amont.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Philippe Alary

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Publié le 25 Juillet 2012

 

entretien. Discours de clôture.


Alain Joucla (à gauche), Laurent Cazabat (au centre) et Jean-Pierre Duprat, ou la trilogie du succès à répétition./ Photo DDM, zoé Gauthier. ()

Alain Joucla (à gauche), Laurent Cazabat (au centre) et Jean-Pierre Duprat, ou la trilogie du succès à répétition./ Photo DDM, zoé Gauthier.

Encouragé, cautionné, même par l'encadrement au sens large (délégué, arbitres, officiels du CD31) et plébiscité par tous les participants tombés sous le charme de Labarthe-Rivière, Laurant Cazabat est bien le porte-parole de toute l'équipe (52 bénévoles de très haut niveau) réunie autour de Georges Gouzennes. Le débriefing est à la hauteur, croyez-nous sur parole.

Que vous inspire le bon déroulement des opérations ?

Notre désir commun de continuer est décuplé de par les nombreux éloges reçus. Ceci dit, nous ne nous enflammons pas comme tous ceux qui savent d'où ils viennent. Plusieurs pistes de réflexion vont être suivies dans le but d'améliorer encore et toujours l'organisation.

Il a par exemple été question d'opter pour un départ le samedi matin par le biais du passage à la formule en poule ?

Oui, même cette hypothèse a été finalement délaissée pour une autre, encore plus séduisante à nos yeux. À savoir, une dotation du concours B revue à la hausse.

Un peu à l'image de l'engouement croissant de vos sponsors ?

Absolument ! Ils étaient 32 au départ de l'aventure, ils sont maintenant 165. Je précise que ce sont de vrais partenaires, présents et fidèles. Leur implication reflète celle de nos merveilleux bénévoles sans lesquels rien ne serait possible.

Qu'en est-il du projet de semaine commingeoise ?

Alain Joucla (de Pointis-Inard, N.D.L.R.) est comme un père et Jean-Pierre Duprat un ami. Nous travaillons ensemble pour faire rester dans le Comminges le maximum de joueurs sur un intervalle de temps bien précis.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Recueilli par Philippe Alary

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Rédigé par Danielle Lalaurette

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